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Nouvelles

El oued : 4 morts dans un accident de la route - le 16/05/2013 22:09 par djoudi
Quatre personnes ont trouvé la mort dans un accident de la route survenu, hier, au quartier populaire de Tiksebt, dans la commune d'El Oued.

Selon des sources sures, le drame a eu lieu lorsque le conducteur d’un véhicule de marque Toyota Corolla, âgé de 41 ans, a doublé un autre véhicule et un bus du transport universitaire.

Malheureusement pour lui, il se retrouvera face à face avec un véhicule de marque Peugeot 404.

La collision a causé la mort des 3 passagers de la Peugeot 404, âgés entre 25 et 40 ans, ainsi que le conducteur de la Corolla.

Les dépouilles mortelles ont été acheminées à la morgue de l'établissement hospitalier Ben Omar Djillali d'El Oued.

Pour rappel, 10 personnes ont trouvé la mort et 20 autres ont été grièvement blessés dans 18 accidents dont sept (7) mortels survenus durant la première semaine du mois en cours dans la wilaya d'El Oued.


En attendant la parution des textes d’application, M Amar Tou Ministre des transports a décidé du report de la mise en place du permis de conduire à points à la fin de l’année au lieu du 20 Novembre comme c’était prévu dans le journal officiel N°62 du 20 Novembre 2011 http://www.joradp.dz/FTP/jo-francai....

Cette annonce a été faite Lors de la journée consacrée à l’évaluation de la sécurité routière. Le ministre a annoncé que la mise en vigueur de cette nouvelle mesure est tributaire des fichiers nationaux unifiés de cartes grises et de permis de conduire, mais aussi de la finalisation du texte relatif à l’usage du chrono-tachygraphe sur les transports en commun et de marchandises.

Regrettant le laxisme des services chargés de la sécurité routière une année seulement après la mise en vigueur de la nouvelle loi en févier 2010. M Amar Tou poursuivit : « Ce n’est pas normal. La première année a été fructueuse alors que la seconde a été dramatique, notamment par les accidents causés par les bus et les camions », dira-t-il en direction de l’assistance composée des cadres du ministère, des représentants de la Gendarmerie nationale, de la Sûreté nationale, du Centre national de prévention et de la sécurité routière, et de l’Entreprise nationale du contrôle technique.

Selon le ministre, en 2011, l’Algérie a enregistré 4 600 morts, dont 43% relèvent de la responsabilité des bus et camions pour 1 560 accidents.

M Amar Tou a poursuivi disant qu’il y a lieu de revoir la loi, l’organisation dans son application, la formation, l’âge pour la délivrance du permis de conduire et l’instauration d’un brevet dûment délivré par des écoles spécialisées pour les chauffeurs de bus, de camions et de taxis, pour un permis à usage professionnel.

Répondant aux questions d’un journaliste du quotidien Echourok un officier supérieur ,représentant le commandement de la Gendarmerie Nationale a informé que son corps préconise à ce que le permis de conduire ne soit délivré qu’à l’âge de 20 ans révolus.

En Algérie, on peut donc voter à 18 ans pour engager l’avenir du pays. On peut se marier légalement à 18 ans pour fonder une famille mais on peut se montrer également incapable de conduire un véhicule avant l’âge de 20ans !

Existerait-il chez nous deux majorités ? Une majorité légale, civile et pénale et une autre ,relative qui ne nous émancipe que plus tard pour pouvoir se mettre derrière le volant !

Dans certain pays, les cours d’initiation à la conduite automobile et à la prévention routière sont introduits officiellement dans les programmes de l’école primaire à partir de 8 ans.

Permis à point ou pas ,c’est d’abord notre éducation et notre degrés de conscience qui en sont responsables à la base.

Souhaitons que ce permis à points apporte les solutions pour limiter ou diminuer l’hécatombe qui nous place malheureusement en tête dans le classement mondial du nombres de tués par accidents de la circulation routière.


 

Le nouveau système repose sur un capital de 24 points à gérer et est censé envoyer tout conducteur ayant épuisé ses points à un centre de recyclage ou de formation ; or ce centre n’existe pas encore. 

Le permis de conduire à points entrera en vigueur le 20 novembre prochain, «au plus tard à la fin de l’année», selon le ministère des Transports. Sommes-nous vraiment prêts pour la mise en application de ce système, prévu principalement pour réduire le nombre d’infractions sur nos routes et surtout le nombre d’accidents et de morts qui défraie la chronique ? L’application de l’ordonnance 09-03, publiée à la fin de l’année dernière dans le Journal officiel, portant sur la mise en vigueur du permis à points, ne pourrait être effective dans les délais fixés, de l’avis des professionnels du secteur et des associations qui s’intéressent à la prévention routière.

En effet, dans les dispositions du texte législatif, des moyens humains et matériels sont prévus avant l’entrée en vigueur de ce système : le fichier national du permis de conduire et le centre de formation et de perfectionnement, indispensables pour l’application du système à points, sont quasi inexistants. La commission chargée de la préparation du fichier n’a pas donné de conclusion concernant l’avancement de la préparation de ce fichier. Même les assureurs, qui ont réclamé un fichier des «mauvais conducteurs récidivistes», n’ont encore rien obtenu de concret.

Le nouveau système, qui repose sur le principe d’un capital de 24 points à gérer et sur la perte de points à chaque infraction, est censé envoyer tout conducteur ayant «épuisé» ses points à «un centre de recyclage ou de formation» ; or, ce centre n’existe pas encore. Les gérants d’auto-école ont déjà posé des difficultés pour donner une formation de qualité en l’absence de circuits et en raison du manque d’effectifs d’examinateurs chargés de veiller sur la qualité de la formation fournie par l’auto-école. Le nombre des candidats au niveau des auto-écoles dépasse de très loin les capacités des centres d’examen. M. Lazouni, président de l’Association de prévention routière, pointe du doigt une autre «irrégularité» : dans le système à points adopté dans plusieurs pays, le document n’est retiré qu’après la perte totale des 24 points ; or, dans ladite ordonnance, le permis sera retiré à la moindre infraction prévue par l’ordonnance.

Pourquoi donc instaurer un système à points, s’interroge-t-on. Le barème des infractions et des points à retirer ne fait également pas consensus. L’ordonnance n’a pas fixé ce barème, qui reste d’ailleurs inconnu. Bref, le permis à points, tel qu’il sera appliqué dans quelques semaines, n’obligera pas les automobilistes à être plus vigilants et meilleurs conducteurs qu’avec le permis «classique». Le conducteur fera certainement des efforts, mais uniquement pour ne pas perdre ses points.

Fatima Arab, El watan

 

Seule la répression peut donner des résultats en matière de prévention routière.

Ce constat était partagé par l’ensemble des intervenants, hier, lors de la rencontre évaluative qui s’est déroulée au ministère des Transports. Pour l’acquisition de chronotachygraphes (appareils électroniques à placer à l’intérieur du véhicule, qui permet de contrôler la vitesse, le temps de conduite…), Amar Tou a démenti l’information véhiculée par la presse. Pour ce qui est du fichier national de la carte grise, il a précisé que le ministère de l’Intérieur est en train de travailler dessus. Au sujet du retrait du permis de conduire, l’une sanction qui semble avoir un effet positif, M. Tou remet en cause la position de certains responsables, sans les nommer, qui ont décidé de ne pas appliquer cette sanction.

Lors de ses interventions entrecoupées, le ministre a insisté sur le fait que «le mépris de la loi» est la première cause de l’hécatombe sur les routes, appelant les Algériens à «un minimum de civisme». Lorsque la loi est appliquée rigoureusement, comme ce fut le cas en 2010, le nombre de victimes de la route diminue sensiblement. Mais «ce qu’on a gagné en une année (en 2010, ndlr), on l’a perdu l’année d’après», regrette le ministre, qui dénonce «ceux qui préfèrent la préservation du permis de conduire au détriment des êtres humains».

Pour sa part, le colonel Salah Melak de la Gendarmerie nationale a axé son intervention sur les résultats de l’application de la loi. Ainsi les deux années où ses services ont enregistré une baisse du nombre d’accidents, voire des victimes, sont 2005 (coïncidant avec la modification du texte portant sur la sécurité routière) et 2010. Ce responsable avoue que les campagnes de sensibilisation n’ont pas eu l’écho escompté. Dans son exposé, le colonel Melak a évoqué les accidents causés par les camions et les bus : «Le nombre d’accidents causés par les camions est de 3%. Mais le nombre de morts est de 43%.»

Ce responsable suggère la modification de la loi en ramenant l’obtention du permis de conduire à l’âge de 26 ans. Pour les transports en commun, le colonel Melak propose l’ouverture d’écoles de formation pour les conducteurs de cette catégorie de véhicules, une formation sanctionnée par l’obtention d’un certificat de qualification professionnelle. Il s’appuie sur l’expérience de la Gendarmerie nationale qui assure une formation pour ses chauffeurs. D’après les dires de ce responsable, cette institution n’a pas enregistré d’accident. En outre, le colonel Melak propose l’instauration d’une loi obligeant les propriétaires de véhicules de transport à engager deux chauffeurs pour les longs trajets. Il suggère également des fichiers nationaux pour les infractions relatives au code de la route, pour la carte grise ainsi que le permis de conduire. 

Djedjiga Rahmani

L'évaluation des offres pour la réalisation des aires de repos, des postes de péage et des centres d'entretien de l'autoroute Est-Ouest, "est en cours de finalisation" au niveau de l'Algérienne de gestion des autoroutes (AGA), a indiqué jeudi le ministre des travaux publics M. Amar Ghoul.

"L'Algérienne de gestion des autoroutes (Aga) est actuellement en train de finaliser l'évaluation des offres des soumissionnaires pour la réalisation des aires de repos, des postes de péage et des centres d'entretien de l'autoroute Est-Ouest", a déclaré le ministre à la presse à l'issue d'une visite d'inspection de plusieurs projets dans la capitale.

Il a précisé, dans ce sens, que l'enveloppe financière allouée à la réalisation de ces infrastructures d'exploitation de l'autoroute, qui totalise une longueur de 1.216 km, a été prévue par la loi de finances de 2012, sans donner de chiffres précis sur le coût de ce projet. "L'AGA n'enregistre aucun retard dans le traitement et l'évaluation du programme de réalisation des aires de repos, des postes de péage et des centres d'entretien", a affirmé M. Ghoul.

S'agissant du programme de réalisation des 42 stations service, dont la réalisation est prise en charge par Naftal, le ministre a indiqué qu'il se poursuivait avec la réception "prochaine" d'une nouvelle station à Bordj Bou Arréridj, en relevant la qualité des stations-service entrées en fonction jusque-là. "Les stations service d'Ain Defla, Relizane et de Sétif réalisées par Naftal sur le couloir de l'autoroute Est-Ouest sont aux normes internationales, que ce soit du point de vue des commodités, du service, et de qualité", a encore indiqué M. Ghoul. Selon lui, sur les 42 stations services programmés, 14 ont un "caractère prioritaire".

Interrogé aussi sur la qualité de certains tronçons de l'autoroute Est-Ouest, notamment à l'ouest du pays, le ministre a indiqué qu'une rencontre nationale est prévue par son département et sera consacrée à l'autoroute Est-Ouest.

Le ministre a rappelé, par la même occasion, que 11 projets d'autoroutes et de voies rapides prévus par le plan d'action du gouvernement seront mis en chantier, précisant qu'il s'agissait de réaliser des pénétrantes devant relier plusieurs ports à l'autoroute Est-Ouest, l'autoroute des Hauts plateaux et l'autoroute Nord-Sud. M. Ghoul a précisé que la réalisation de ces nouveaux projets s'étaleront jusqu'à 2014.

El Watan avec APS

Dix-neuf (19) personnes ont été blessées dans un carambolage impliquant deux bus, un camion et une voiture, jeudi à Batna près de la cité universitaire Mostefa Benboulaïd, non loin du centre-ville.

Le centre-ville de Batna a échappé à un véritable carnage routier suite à un carambolage impliquant deux bus, un camion et une voiture, faisant 19 blessés, a indiqué la Protection civile.

Souvent dans accidents signalés dans les différents coins du pays, on trouve toujours des bus et camions impliqués causant des morts et des blessés. Jusqu’à quand cet hécatombe ?


Le bilan des accidents de la la route de l’année 2011 a été rendu public ce mercredi par les services de la protection civile de Sétif.

Les routes de la wilaya de Sétif ont enregistré une hausse de 40% par rapport à l’année écoulée. 87 décès au total et 1752 blessés ont été enregistré durant l’année 2011.

Les causes de ce drame sont connues. La responsabilité relève au facteur humain en premier lieu pour le non respect des règles de la circulation ,vient ensuite la vétusté du matériel et enfin les aménagements routiers qu’on incrimine pas le plus souvent.


Plusieurs projets routiers lancés en 2012 à Alger - le 05/01/2012 21:31 par webmaster

ALGER- Plusieurs projets de réalisation et d’aménagement d’infrastructures routières seront lancés en 2012 dans la wilaya d’Alger, dans le but d’améliorer les conditions de circulation automobile, a annoncé jeudi le ministre des Travaux publics Amar Ghoul.


Prévus dans le cadre du Plan directeur de la direction des Travaux publics d’Alger (Dtp), ces projets portent sur la réalisation d’une voie express reliant le complexe olympique Mohamed Boudiaf à Khraicia (20 km), parallèlement à une voie reliant de Kouba à Khraicia via Saoula sur 20 km, a précisé M. Ghoul à la presse lors d’une visite de travail à Alger.

Il s’agit également, a-t-il ajouté, de réaliser un tunnel qui permettra de relier la place Addis Abbeba (El Mouradia) au Val d’Hydra (3 km), afin d’atténuer la congestion de la circulation enregistrée au c£ur de la capitale et dans sa proche périphérie.

"Nous sommes en train de préparer les cahiers de charges relatifs à l’appel d’offres international du projet de ce tunnel desservant le Centre d’Alger", a expliqué M. Ghoul.

Ces nouvelles infrastructures routières sont inscrites au titre du plan quinquennal du secteur à l’horizon 2014 qui prévoit notamment la réalisation de 70 projets pour lesquels quelque 60 milliards de DA ont été consacrés, ont expliqué des responsable de la Dtp.

Le ministre, qui a donné le coup d’envoi de la réalisation d’une route d’évitement de la ville de Saoula (4 km) et du dédoublement du Chemin de wilaya CW 122 entre Reghaia et Ouled Moussa (Boumerdes), a affirmé que le projet de dédoublement du CW 149 qui relie Bordj El Bahri à Hammadi (Boumerdes) sur 10 km et le dédoublement du CW 121 (Ain Taya-Rouiba sur 11 km) figurent aussi parmi les nouveaux projets du secteur.

Selon les explications fournies sur place, l’avancement des travaux sur l’axe Bordj El Bahri-Hammadi, conçu pour augmenter la capacité du réseau routier à l’Est d’Alger, est de 60%, alors que le projet de dédoublement du CW 121 est réalisé à 28%.

"Ces grands projets structurants auront un grand impact sur le réseau routier de la capitale et de sa périphérie", a-t-il tenu à souligner, appelant, par la même occasion, les entreprises de réalisation à plus de célérité dans l’exécution des travaux sur les projets qui leur sont confiés.

"Toute entreprise, publique ou privée, ne respectant pas ses engagements en termes de délais et de qualité des travaux, va se voir retirer les projets qu’elle réalise", a rappelé M. Ghoul, ajoutant que les entreprises défaillantes seront exclues de soumissionner aux appels d’offres du secteur.

Selon lui, le nombre d’entreprises sanctionnées dans le cadre de l’application de ces mesures est de "10 entreprises publiques et privées" au niveau de la wilaya d’Alger.

Le ministre qui s’est enquis des travaux d’aménagement au niveau du carrefour du plateau des Anassers (Kouba), a indiqué que 25 trémies ont été réalisées dans la capitale durant les dix dernières années, dans le cadre de projets visant à endiguer les points noirs sur les principales artères d’Alger.


266 accidents en une semaine - le 29/11/2011 08:59 par webmaster

Pas moins de 266 accidents de la circulation ont été enregistrés par les services de la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN), à travers l’ensemble des zones urbaines, au cours de la dernière semaine du mois écoulé.

Ces sinistres ont causé le décès de 14 personnes et causé des blessures à 290 autres. Il est toutefois signalé que le nombre des accidents a baissé de 42 cas comparativement à la semaine précédente. Celui des blessés a également diminué de 77 cas tandis qu’une hausse d’un cas de décès a été constatée, indique le bilan.

Ce dernier indique que le comportement humain demeure le facteur causal prépondérant avec un taux estimé à 93,23%. Les 6,77% restants incombent à l’environnement et l’état des routes ainsi que l’état de véhicules avec respectivement 4,89% et 1,88%.

La DGSN indique qu’elle poursuivra ses campagnes de sensibilisation, ses programmes de prévention et mesures dissuasives, ainsi que ses appels à la prudence aussi bien en direction des usagers que des automobilistes, pour mettre fin au fléau des accidents de la route.

Par : A. B.


Vers le doublement de la route Sétif – Béjaïa - le 24/11/2011 12:25 par webmaster

Tous les Sétifiens déplorent la souffrance qu’ils subissent sur la route nationale RN9 pour se rendre à Bejaia en particulier lors de la saison estivale. Beaucoup d’entre eux préfèrent éviter cette route en se rendant à Jijel via Beni Aziz et Ain Sebt ou via Constantine pour passer leurs vacances.

Les travaux de doublement de la route RN9 ont déjà commencé il y a quelques années dans le territoire de la Wilaya de Sétif sur un tronçon de 30 Km entre la ville de Sétif et Amoucha. Cependant, la partie de la RN9 appartenant à la Wilaya de Béjaia n’a subit aucune amélioration depuis les années 1990. Le tunnel de Kharrata qui fait 6 Km reste lui seul le point noir de cette route où les automobilistes y passent des heures si la circulation n’est pas totalement bloquée.

Afin de résoudre le problème lié à ce calvaire routier, le ministre des Travaux publics, Amar Ghoul, promet la prise en charge de « l’évitement de la ville de Souk El Tenine, dans le cadre de l’étude du dédoublement de la RN09, entre Souk El Tenine et la limite de la wilaya de Sétif », précisant que l’avis d’appel d’offre sera lancé dans les tous prochains jours. Une autre opération visant à moderniser les chemins étroits et les virages dangereux, dans la commune de Kherrata, a été inscrite dans le programme 2012, rapporte le quotidien « la Dépêche de Kabylie ». Il a rappelé que plusieurs autres projets sur cet axe routier sont, d’ores et déjà, en voie de réalisation, à l’image de l’évitement de la ville de Tichy et du dédoublement de la RN09, dans sa section traversant la commune d’Aokas, n’omettant pas de signaler la mise en service, en septembre dernier, du nouveau tunnel d’Aokas.

 

mercredi 23 novembre 2011 | Boutebna N. Sétif.info